NOM ET PRÉNOMS ✖ Anna Denton ; DATE DE NAISSANCE ✖ 14 Juillet 1988 ; LIEU DE NAISSANCE ✖ Paris ; ORIENTATION SEXUELLE ✖ Lesbienne ; SITUATION PERSONNELLE ✖ célibataire ; ÉTUDES/MÉTIER ✖ photographe ; GROUPE ✖ I just want to live ; CÉLÉBRITÉ ✖ Deborah Ann Woll ; CRÉDIT SIGN' ✖ Tumblr pour les gifs.

YOUR LIFE'S CODE La liberté est pour moi une chose que tout à chacun devrait posséder, la liberté c'est de vivre sa vie telle que l'on l'entend, en respectant les choix de tout à chacun. Quelque soit la sexualité ou la décision des personnes. Le bonheur c'est d'être libre. Voilà ce que c'est la liberté pour moi et au jour d'aujourd'hui je 'ai trouvée au Brésil. Je peux y exercer mon métier facilement et y vivre ma sexualité sans qu'un con comme mon père n'ait que ce soit à dire. Les autorités sont là pour moi dans un sens pour gâcher la liberté de tout un chacun et dans un autre sens ils assurent la protection du peuple. On a besoin d'eux quoiqu'on en dise.

LOSE YOURSELF « Une belle citation, une belle citation, une belle citation... »

PSEUDO ✖ Aibaka ; AGE ✖ 30 ans ; OU AS TU CONNU LE FORUM ? ✖ Bazzart ; UNE REMARQUE ? ✖ écrire ici ; CONNEXION ✖ 3 ou 4 /7. (suivant mes horaires)

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◘ Deborah Ann Woll [color=red]••[/color] Anna Denton

Je suis née le jour de la fête nationale française et ma mère à failli mourir durant l’accouchement. Enfance perturbée avec les flics souvent à la maison pour diverses affaires, je savais déjà ou et comment je finirais, je n’étais pas enfant unique, j'avais un frère. Pas très sage et peu respectueuse de celle qui était pourtant la douceur même, mais nous nous ne ressemblions pas, j’étais un peu hyper active très bavarde et déjà dominatrice, j’étais le petit démon de ma classe. L’adolescence me posa quelques soucis, je devenais une femme, mais mon caractère avait le dessus, je frappais une fille de ma classe car son père était un des flics toujours sur le dos du miens. J’avais profité d’une douche pour le faire je lui avais attrapé les cheveux pour lui claquer la tête dans le mur et lui mettre un ou deux coup de pieds dans le ventre avant qu’une des profs soit avertie par une des balances une sale petite intellos de merde ! Je ne fus pas punie chez moi mais l’école me renvoya. En rentrant dans la nouvelle école, je fis connaissance de celle qui une allait m'aider à découvrir mon homosexualité. Nous étions toutes les deux en interna et nous étions colocataire, nous avions passé une nuit de folie au lit, un peu imbibée d’alcool et un joint nous y avait aidées, mais lorsque nous nous sommes embrassées pour la première fois et les choses se sont accélérée, une de ces mains sur mes seins et très vite je me suis retrouvée à me faire lécher et à lécher à mon tour. C'était des plus agréables. Nous avions renouvelé l'expérience plusieurs fois et ce en cachette. Ce qui devait être une expérience est devenu un coup de foudre et un amour entre deux jeunes filles, un amour caché un amour secret. J'avais un peu honte de m'afficher avec elle, alors qu'elle voulait crier sur tous les toits, moi je voulais garder cette relation pour nous. Mon père était homophobe et ne le supporterait pas, il venait de sortir de prison quand il apprit ma sexualité différente.

Je commençais à m'intéresser à la photographie à ce moment là. Je venais d'avoir dix huit ans, avec un appareil que j'avais pu m'offrir grâce à l'argent que j'avais gagné comme gardienne d'enfant, je prenais une amie en photo pour un book car elle voulait se lancer dans le mannequinat. Alors qu'elle se changeait dans ma chambre, mon père ouvrait la porte et tombait sur elle en petite tenue. Très vite il piquait une crise de colère et me frappait sous les yeux de mon amie en me traitant de pute et de lesbienne. Mon modèle pris peur et commençait à pleurer, en suppliant ce monstre de ne plus me toucher, que ce n'était pas une maladie d'être homosexuel mais bien simplement le fait d'aimer quelqu'un du même sexe. Il s'en pris à elle, là quand je vis qu'il l'avait frappé elle aussi, mon sang ne fit qu'un tour, j'attrapais mon réveil et lui lançait à la tête, pour la première fois je tenais tête à mon père. Il m'avait battue, humiliée mais là, il avait été trop loin. Non je n'acceptais pas qu'il s'en prenne à une de mes amies. Il me giflait une nouvelle fois, je titubais mais restais sur mes jambes. Le regardant de nouveau droit dans les yeux, je lui collais un coup de pied dans l'entre jambes et m'en allait avec mon amie. J'entendais des horreurs sortir de la bouche de celui qui était mon père. Ma mère n'avait pas bougé le petit doigt, le seul qui avait eu le courage d'intervenir, c'était mon frère. Lui avait des couilles même si son rêve était de prendre la relève de notre paternel. Mon amie m'a emmené chez elle et nous avions discuté par rapport à mon homosexualité après qu'elle m'ait soigné ma lèvre fendue. Elle voulait savoir si j'étais réellement lesbienne ou si c'était une insulte de la par de mon père. Je lui ai tout avoué, cela m'a fait bien fou. A elle aussi, je crois car directement, elle a joué carte sur table, elle fantasmait sur moi depuis un long moment. Nous nous sommes rapprochée et avions formé un couple durant trois longues années. Je continuais sur ma lancée de devenir photographe professionnelle, je payais mes études en travaillant dans le bar ou mon frère travaillait lui aussi. Je vivais avec ma petite amie, qui avait annoncé, elle à ses parents son homosexualité. Tout c'était bien passé et j'étais entrée dans la famille sans commentaire désobligeant.

Toutefois le temps eu raison de notre amour, la jalousie aussi ! Je commençais à travailler comme assistante pour un photographe reconnu dans le monde du charme et de la pornographie, il y avait toujours donc de ravissantes créatures à moitié ou totalement dénudée à mes cotés. J'avais beau lui jurer qu'il n'y avait qu'elle dans ma vie, elle ne voulait rien entendre et me faisait crise sur crise de jalousie. Au début, je ne disais rien mais à un certain moment j'en ai eu marre et je l'ai giflée, très vite cela à tourné à un combat de rue, j'en pouvais plus, ces accusations m'avait fait trop mal ... Mon frère encore lui, nous sépara quand il arrivait nous rendre visite. Sous ses conseils, je partis de chez elle, en claquant la porte. J'allais au studio où je pleurais toute la nuit. Je voulais partir quitter Paris. Je demandais à mon patron s'il ne pouvait pas m'aider. Il me conseillait, une ile ou je pourrais faire le vide, en me mettant plus ou moins indépendante. En faite, je serais son bras droit là bas, je travaillerais en succursale en quelques sortes. Je ne devrais vendre mes photos que pour un certain magasine en particulier et non pour la concurrence. Je m'envolais pour le Brésil une semaine plus tard, mon frère (décidément encore lui) m'aidait pour mes bagages et me souhaita bonne chance en me disant qu'il viendrait certainement me rejoindre un jour pour aller voir les jolies filles en maillot de bain et trafiquer des choses là bas. Je lui mis un coup de coude en rigolant pour les filles. Je l'embrassais et lui conseillais de ne pas m'oublier.

Voici plus d'une année maintenant que je suis ici, mon frère comme promis est venu et c'est installé sur l'ile, je photographie et couche avec de jolies jeunes femmes. J'ai un appart et je suis libre enfin de faire ce que je veux. Enfin je vis !