Sacha L. Travis AGE : 17 ans [url=http://]Ma fiche[/url] [url=http://]Mes liens[/url] [url=http://]Mon portable[/url] AGE : 29 CRÉDITS : © Choupiaz MESSAGES : 3 ICI DEPUIS LE : 25/06/2013 POINTS : 0 | Sujet: • She smells like the sun. But this fucking world is hurting her • Sasha L. Travis Mar 25 Juin - 17:20 | |
| Sacha Lea Travis NOM ET PRÉNOMS ✖ sacha Léa Travis ; DATE DE NAISSANCE ✖ 04 novembre 1995 ; LIEU DE NAISSANCE ✖ Tijuana, Mexique; ORIENTATION SEXUELLE ✖ Hétéro ; SITUATION PERSONNELLE ✖ Célibataire ; ÉTUDES/MÉTIER ✖ N'est pas scolarisée. Fait partie d'un groupe de cambrioleurs et gagne de l'argent grâce à des courses de rue en moto. ; GROUPE ✖ My life, my rules. ; CÉLÉBRITÉ ✖ Kristen Stewart ; CRÉDIT SIGN' ✖ © Choupiz J'suis libre. C'est tout c'que j'ai à dire. Pas de parents sur mon dos, pas d'individus pour me dire quoi faire, et quand, personne pour me dicter les règles de la vie. Parce que pour moi, y a pas de règles, tout simplement. Il n'y a jamais eu de règles. C'est une saloperie inventée par les humains, pour les rassurer. Moi j'ai pas besoin d'être rassurée. Je vis ma vie. Je suis ce que je suis, et je ne peux être que ça. peu importe si les choses que je fais ne sont pas catholiques. Peu importe si c'est bien ou mal, puisque c'est la seule chose que je fais et qui me permet de rester dans ce putain de monde. Alors je vous demande pas votre avis, j'ai pas besoin d'une autorisation pour vivre. | | LOSE YOURSELF “Nothing behind me, everything ahead of me, as is ever so on the road.”
| PSEUDO ✖ Sashou ; AGE ✖ 17 ans ; OU AS TU CONNU LE FORUM ? ✖ Je le connaissais de vue, avec les partenariats et les top-sites. Quand j'ai eu l'idée d'un erso, j'me suis pointée ! ; UNE REMARQUE ? ✖ inspirée, inspirée, inspirée... ; CONNEXION ✖ 6/7. - Code:
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◘ Kristen Stewart [color=red]••[/color] Sasha L. Travis
This is the beginning
23 février 1995
« Putain, putain, putain ! Fuck....» crachai-je, assise sur la cuvette des toilettes. J'étais enceinte. ENCEINTE. Mais de qui ? Certainement de ce connard, qui s'était barré juste après m'avoir baisé contre le mur d'un tunnel, au sortir de la boîte de nuit. Et maintenant ? Impossible de retrouver sa trace. Impossible de le dire à qui que ce soit. Je devais avorter. Absolument. Non, il fallait que j'en parle à Carl avant. Après tout, peut-être que l'enfant était de lui. On l'avait fait quelques jours après. Pas le temps pour faire un test de paternité, mais j'avais besoin de lui. C'est le seul qui comprendra. * PAM PAM PAM * « Lucy ? T'es là-dedans ? Tout va bien ?! » Et merde. La voix de Carl. Je dois lui dire, maintenant. Je ne répondis pas, relevai mon pantalon, tirai la chasse, me lavai les mains et sorti avec le test à la main. Je n'ouvris pas la porte complètement. Juste assez pour lui montrer le test, et mes yeux apeurés. Il croisa mon regard, curieux, sans comprendre, puis baissa la tête et observa sans un mot le test de grossesse, avant de relever les yeux sur mon visage. Je pleurais. Il ouvrit la porte en grand et me prit dans ses bras. Il me serrait fort. Je pleurais. Il m'embrassait le front, essuyait mes larmes, et prit mon visage entre ses mains. « Ecoute moi, ça va aller, d'accord ? Il est à qui, tu le sais ? » souffla-t-il de sa voix suave. « Non, je...Il est à...A toi, je crois. » « Tu crois ? Non, là il faut en être sûr, tu sais ou tu sais pas. Tu m'entends ? Tu dois...» « Je sais pas ! Je sais pas...» hurlai-je, avant d'éclater une nouvelle fois en sanglots. Cette merde était obligée d'être tombée dans mon ventre à moi ?! « Ok...Ok...Viens là...» Il me prit encore une fois dans ses bras.
24 février 1995
Il s'était assit sur le siège libre de la salle d'attente, et m'avait lancé un regard apeuré. Comme le mien. Sa jambe sautillait. Jamais je ne l'avais vu aussi...Nerveux. Je l'étais d'autant plus. L’infirmière m'invita à entrer dans la salle, et à me déshabiller, pour vêtir un pyjama blanc. Je le fis, puis me couchai sur ce lit....Ce lit de la mort...Elle me rassurait, me tenait la main, et un homme arriva. Vieux, mais expérimenté. Il tenait deux ustensiles dans sa main. Je les regardai, je tremblais. Je serrai un peu plus fort la main de l'infirmière. Elle me ressurait toujours. Je levai un bras sur mon front, et fermai les yeux. Je tremblais. J'écoutais les instructions du docteur, hochant nerveusement la tête à chaque fois qu'il me répétais : « D'accord ? Vous avez compris ? Bien. » Puis ça commença. « On y va..Doucement..Vous risquez de sentir un petit quelque chose, ce sera fini en quelques minutes. Respirez, je commence. » C'était froid. Je pleurai. Il s'arrêta. Me regarda. « Ça va aller ? Je sais que c'est dur. Vous voulez arrêter ? Dites le moi. » Je fis non de la tête. Il continua. Puis une demi-seconde plus tard, je hurlai : « Non, arrêtez, je peux pas....» Il s'arrêta net, et l'infirmière m'essuya le front, me chuchotant des mots doux, comme quoi ce n'était pas grave, etc...Il me sourit tristement, hocha la tête et sorti de la salle. Je me levai, remis mes vêtements, et sorti de la salle. Je passai devant la salle d'attente, mais je sorti directement. Besoin de prendre l'air. Besoin d'air frais. Besoin de vie. J'entendis Carl me rejoindre en courant derrière moi. Je faisais les cents pas, il essayait de comprendre, je lui ai dis que je n'avais pas réussi. Il a pincé les lèvres, il a pleuré, puis il m'a prit encore une fois dans ses bras. Et il m'a chuchoté : « On y arrivera. »
04 novembre 2001
Le jardin est rempli d'enfants rieurs et de voisins. C'est mon anniversaire. Je regarde à travers le grillage, cette famille heureuse, triste de devoir rentrer à l'orphelinat. Énervée de ne pas avoir une vie normale. Mon cartable est lourd. J'ai faim. Le visage blême, je décide de rentrer dans le jardin. Je passe sous le regard de tous les parents, et ils ne se doutent de rien. Je suis la nobody's girl, je n'appartiens à aucun d'eux. Je marche d'un pas vif vers le buffet, et je prends quelques bonbons dans mon sac, d'autres dans ma bouche. Je prends aussi une part de gâteau. Un petit garçon me regarde faire. Je lui tire la langue et je m'en vais. Mes parents ne pourront pas me crier dessus. Ils ont divorcé. Puis l'une a choisi de renier sa fille alcoolique, droguée et violente. L'autre est parti quelque part, continuer sa vie. Et moi, les services sociaux m'ont placé dans un centre pour enfants. Je suis libre.
15 mars 2010
Je me suis enfuie. J'ai pris un train, et je me suis barrée. Ils ne chercheront pas à me retrouver de toute manière. Ils s'en foutent de moi. Il y a d'autres ados qui attendent qu'on s'occupe d'eux. Moi je veux être libre. Les dortoirs et tout le bordel, c'est pas pour moi. Je suis partie à Rio. En ville. Je trouverais forcément quelque chose à faire. D'ailleurs, pour dormir, j'ai dégotté une vieille baraque abandonnée. Y a quelques meubles, dont une salle de bain et un canapé. C'est parfait. J'ai 15 ans, et ma nouvelle vie commence.
11 juin 2010
Il y a Fred, Annie, David, Chcuk...Et maintenant moi. Ils sont tous les quatre des motards exceptionnels. Leur moto ? Elles sont magnifiques, et construites avec pas mal de pièces illégales. Mais peu importe, parce que le but, c'est d'aller le plus vite possible. Pour gagner. Gagner les courses de rue. Si c'est le cas, on gagne du fric, et on peut se nourrir. C'est le monde qu'il me faut, c'est le monde dans lequel je suis tombée. C'est Fred qui m'a trouvée. Seule sur un trottoir. J'avais craqué, et comme une conne, je m'étais endormie. Il m'a pris sous son aile, m'a emmené dans leur "repère". Et me voilà parmi eux. Ils m'ont acceptée quand ils ont vu que j'aimais les motos. Mon père en avait une, je m'en souviens vaguement, quand j'étais gamine. Et puis j'sais pas, ils ont du avoir un coup de foudre sur moi. Ils ont pas posé de questions, ils me considèrent comme l'une des leurs. A vrai dire, je sais même pas pourquoi au fond. Bref, tout ça pour dire qu'aujourd'hui, j'ai fais mes preuves. J'ai chevauché la moto d'Annie, et j'ai fais une course avec Chuck. J'ai pas gagné, mais j'étais à ses talons. Ils disent que je vaut quelque chose, et ils vont m'apprendre tous les petits trucs à savoir. Fred, après avoir eu l'autorisation de David, le chef, me l'a dit : Bientôt, je serais prête à faire des courses de rue moi aussi.
J'ai aussi appris à voler. Ouais, parce que c'est des cambrioleurs. Alors je les aide, puisque je suis souple et petite. Je gagne ma part, pour leur plus grand honneur, et pour le mien. Je suis tombée dans un groupe pas vraiment sage, mais je m'en fiche, parce qu'aujourd'hui, c'est ma famille.
19 février 2013
Ils m'ont offert ma première moto. Une ducati. Elle est magnifique. J'ai déjà gagné un bon nombre de courses avec elle. Et je suis la plus jeune des concurrents, en grande majorité. Et la seule fille aussi, très souvent. Je participe toujours aux cambriolages et aux vols. J'adore ça. C'est pas très légal, et je sais pas encore ce qui m'attend plus tard. Mais peu importe, la seule chose que vous devez savoir, c'est que je suis heureuse, et c'est tout ce qui compte.
Dernière édition par Sacha L. Travis le Dim 30 Juin - 18:20, édité 2 fois |
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Sacha L. Travis AGE : 17 ans [url=http://]Ma fiche[/url] [url=http://]Mes liens[/url] [url=http://]Mon portable[/url] AGE : 29 CRÉDITS : © Choupiaz MESSAGES : 3 ICI DEPUIS LE : 25/06/2013 POINTS : 0 | Sujet: Re: • She smells like the sun. But this fucking world is hurting her • Sasha L. Travis Sam 29 Juin - 10:57 | |
| (désolée pour le retard, je finis la fiche ce soir <3 ) |
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Leo Rodriguez AGE : 27 Ans DC : Elena & Patrick & Amy CRÉDITS : socrazy&tumblr MESSAGES : 85 ICI DEPUIS LE : 19/02/2013 POINTS : 6 | Sujet: Re: • She smells like the sun. But this fucking world is hurting her • Sasha L. Travis Lun 1 Juil - 13:29 | |
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