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HOLLY&AARON - I'm having your baby.

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Holly Meideros

Holly Meideros


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MessageSujet: HOLLY&AARON - I'm having your baby. HOLLY&AARON - I'm having your baby. EmptyMer 15 Mai - 21:48

HOLLY&AARON - I'm having your baby. Tumblr_mm51uiNUmC1s1aykho7_250HOLLY&AARON - I'm having your baby. Tumblr_mm51uiNUmC1s1aykho8_250
You're still in my head


« Holly cesse de foutre du bordel partout STP ! » Ma best. J’y peux RIEN moi si je suis bordélique. Elle me connait depuis des années, et elle ne s’est toujours pas habitué ! J’aime foutre le bordel partout où je passe, ça m’amuse. Enfin là, je viens de découvrir que je ne pouvais pas m’habiller. J’allais tout de même pas sortir avec une grosse robe toute moche, avec un bidon ENORME. Tout le monde me disait que je devais arrêter de voir tout ça comme des kilos en trop. Pourtant ce n’est pas eux qui ne rentraient plus dans leurs fringues.

« Qu’est-ce que tu fais là Aaron ? » Il avait sourit. Il était venu me parler, et à la seconde où nous avions croisés nos regards, nos mains s’étaient liées, nos corps s’étaient rencontrés, et la suite, on la connait tous right ? On avait fait ce qu’on avait envie de faire, mais bien vite, tout avait changé quand j’avais su. « Fiancé ? Ce n’est pas un truc que tu étais censé me dire AVANT de me sauter ? CASSE-TOI. SORS DE CHEZ MOI. » Ce jour-là, j’avais été furieuse, qu’il ait osé me faire ça. Je m’étais jurée de le maudire. Et puis j’avais su pour le bébé, et j’avais oublié tout ça. Et quand il était parti, je n’avais osé le lui avouer. Mais c’était pire que ça. Pire que tout. Il était d’Aaron, et j’avais finir par le comprendre. Ce jour, je m’étais écroulée, contre le mur de ma chambre.

« Holly, tu sais, le type dont tu m’as parlé. Il est à Rio. Je crois. » Je me retourne, on est au centre commercial, on traîne pour trouver un truc à me foutre sur le dos. Non je ne me balade pas nue non plus. J’ai piqué un t-shirt de mon frère et un de ses levis. J’ai l’air d’un sac, mais au moins, je ne suis pas serrée. Moi qui adore être sexy, raté, je vais être une grosse baleine et puis voilà. « T’en es sure ? Et il était.. Enfin tu sais… Seul. » En gros il est toujours fiancé cet idiot ou non ? Elle me regarde et sourit. « Nan, il était tout seul, je crois. » J’aurais presque souris, si je n’étais dégoûtée par le fait qu’il avait osé coucher avec moi tout en étant avec « elle ». J’ignorais qui elle était, mais j’étais sure qu’elle n’était pas aussi bien que moi. Na. Oui j’avais l’impression d’être en maternelle et de défendre un jouet qui m’avait appartenu. Je finis par trouver deux trois trucs sexy, même si c’était assez large pour que mon ventre ne se sente pas à l’étroit. Je me mis à regarder celui-ci. « Toi tu n’es pas né que tu m’emmerdes déjà. Tu vas finir par ravoir une mère droguée et à l’ouest vu qu’elle n’aura personne tant tu lui auras foutu des bourrelets partout ! » Ce n’était pas tout à fait vrai, je savais qu’aussitôt bébé plus là, j’allais me démerder pour courir jusqu’à épuisement pour perdre tout ça. Il n’était pas question de devenir grosse et laide.

« Holly vient là, ce ne serait pas lui ? » ET MERDE. De tous les jours où il aurait pu être là devant moi, il avait fallu que je sois habillée comme une mendiante. Je cherche une sortie, là où ma pote m’emmène voir pour être surs que c’est lui. Et ce qui devait arriver, arriva, il se met à regarder vers moi. J’essaye de faire comme si je ne l’avais vu, mais il vient vers moi bien sûr, sinon ce ne serait pas drôle. Je veux me cacher dans un trou de souris. Mais je rentrerais pas dedans, vous avez déjà vu une baleine entrer dans un trou de souris vous ? Ma pote prend les devants. « Hey toi, ce n’est pas Aaron ton nom. » Il a les yeux rivés sur mon ventre je n’arrête pas de penser « NE REGARDE PAS LE RESTE » Oui oui, un de mes ex est là devant moi, sans doute le père du gamin que je porte, et moi, je pense à ma garde-robe. « Je suis à six mois.. » Dis-je sans vraiment savoir pourquoi je lui sors ça. Ou peut-être, que vicieusement, jviens de lui dire, c’est le tien..



Dernière édition par Holly Meideros le Mer 29 Mai - 13:56, édité 5 fois
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Aaron P. Correria

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MessageSujet: Re: HOLLY&AARON - I'm having your baby. HOLLY&AARON - I'm having your baby. EmptyMar 21 Mai - 15:26

Mais qu'est-ce que tu fous ? Non rien ! Au tant dire qu'il ne prenait pas un ton très convainquant, pour ne pas dire que son ton valait un « j'ai fait une bêtise ». D'ailleurs, Jenna n'y crut pas une seule seconde. Appelle moi conne pendant que tu y es. Aaron souriait alors qu'il rattrapait le téléphone qui venait de tomber par terre et le reposait sur le bord du lavabo. Il appuya sur un bouton pour augmenter le volume de ses haut-parleur et reprit son activité. A vrai dire, j'essaye de me préparer tout en te parlant, ce qui n'est pas simple au téléphone. Quand est-ce que tu viens ? J'arrive bien à m'habiller au téléphone moi ! Essaye un peu de te raser la barbe que tu as pas en même temps madame. Et réponds quand je te pose une question. Elle rigolait, et il pouvait s'empêcher d'avoir un petit sourire également bien que cela elle ne puisse pas le voir, n'étant pas là. Je devrais arriver dans une semaine ou deux. Même si je comprends pas ton acharnement à me faire venir à Rio. Que pouvait-il répondre ? Que même s'il savait que eux deux ça ne mènerait nul part, il la voulait à ses côtés ? Même s'il savait qu'ils ne s'aimaient pas comme cela, il tentait vaguement de préserver leur couple, leur fiançailles ? Ou même plus simplement que Rio c'était leur ville, celle où ils avaient fait leurs études, celles où ils avaient grandit et qu'il voulait simple qu'elle partage avec lui de nouveaux quelques moments dans cette ville ? Mais non, il n'allait pas lui dire tout ce qu'elle savait déjà. J'en ai envie, n'est-ce pas suffisant ? J'ai un métier moi, monsieur ! Tu crois que je suis à Rio pour quelles raisons ? Attrapant une serviette derrière lui, il s'essuya le visage. Même rasé, il ne lui en restait pas moins quelques cernes dues à sa quasi nuit blanche passée à travailler. Il attrapa le téléphone et repartit dans sa chambre pour s'habiller. Tu fais quoi aujourd'hui ? Voilà plusieurs semaines, bon ok deux, que Aaron était de retour à Rio, sans Jenna. Et depuis, ils s'appelaient chaque jours, se racontant le soir la journée passée et le matin ce qu'ils avaient prévus de faire. Parfois, Aaron avait vaguement l'impression de se retrouver de nouveaux étudiants quand ils se racontaient tout au téléphone puisque Jenna était partie dans une autre ville et qu'ils ne se voyaient que trop peu. Pour pas dire pas du tout. C'était surement l'époque où sa relation avec Jenna avait changée. Non c'était l'époque où il s'était rendu compte qu'il supportait que difficilement l'absence de son amie d'enfance, quand elle n'était encore que cela. Puis c'était l'époque où il avait connu Amy, cette fille qui lui avait vaguement fait perdre la tête. Et ensuite, quand Jenna était arrivée et avait recollé ce que Amy avait laissé en morceau, c'était là où leur relation avait changé. Qu'ils étaient passés d'amis à couple pour n'être finalement pas si différente d'avant. Oui, c'était Amy qui avait tout fait changé.

Il pensait vaguement à tout ça en me rendant au centre commerciale. Ou plutôt, pensait à ça entre autres tout en évitant vaguement de rentrer dans les gens en espérant que ses pas le mèneraient bien au centre commercial. Aaron n'était pas un garçon spécialement dans la lune mais il n'était pas non plus quelqu'un qui aimait marcher alors dans ces moments là, il se perdait vite dans ses pensés. Une fois sur place, il prit un café à emporter et prit la direction d'une boutique de vêtements de femme. Non, non, il ne se travestissait pas, loin de là mais il voulait avoir un petit quelque chose à offrir à Jenna quand elle arriverait en ville. Sa façon de lui dire merci, merci de le soutenir dans son projet et de le suivre ici alors qu'elle aurait simplement pu mettre fin à cette mascarade entre eux et rester là où sa nouvelle vie était. C'est alors qu'il la vit. Elle. Oui Elle avec un grand E. Elle comme Amy ou la fille qu'il aurait du retenir y a plusieurs années de cela. Pourtant, plutôt que faire demi tour et prendre la fuite, il put s'empêcher de s'approcher d'elle. Pourquoi ? Il n'en savait rien. Probablement pour s'excuser par rapport à la dernière fois qu'ils s'étaient vus, y a six mois de cela. Il fut interpellé par l'amie de Amy qui lui demanda s'il était bien Aaron. Enfin s'il s'appelait bien ainsi mais la question était posée d'une telle manière qu'il savait ce qu'elle signifiait. Effectivement. Mais avant qu'il ne puisse ajouter quelque chose, il vit enfin ce qui avait changée chez Elle depuis la dernière fois. Son ventre. Il ne peut plus en détacher son regard. Amy était enceinte. Cela lui fit l'effet d'une bombe. Amy, enceinte. Au fond, il essaya vaguement de se dire qu'il s'en foutait, que maintenant il était avec Jenna mais il savait très bien qu'il n'avait qu'une envie : savoir qui était le père pour lui casser la tronche. Mais, cela aurait été trop simple non ? Car Amy lui apprit qu'elle était enceinte de six mois. Six mois comme exactement le nombre de mois qui venaient de s'écouler depuis la dernière fois qu'il était venu à Rio. Six mois comme si... Il n'arriva même pas à formuler la phrase dans sa tête. Six mois... Comment allait-il le dire à Jenna si c'était bien le cas ? Il chassa cette idée de sa tête. De un, Jenna serait capable de sauter au plafond. De deux, ça ne pouvait pas être ça. Aaron ferma les yeux, plutôt que faire des yeux de poisson sorti trop longtemps de l'eau à cause de la surprise et les rouvrit. Non elle était encore bien enceinte, ce n'était pas un délire de ses yeux. Félicitation. On y croyait pas une seule seconde. Amy ? Est-ce que... je... le bébé... toi ? Enfin tu vois quoi ? Bordel Aaron, sort de ta trompeur et soit un homme un peu !
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MessageSujet: Re: HOLLY&AARON - I'm having your baby. HOLLY&AARON - I'm having your baby. EmptyMar 28 Mai - 18:14



Pas la meilleure façon de dire à quelqu’un qu’on porte son bébé. Pas du tout la bonne façon en fait. Il aurait fallu que je m’occupe de tout ça, que j’avance, mais non, il avait fallu que je l’ouvre, que je lui dise, comme un boulet de canon, juste pour lui montrer, qu’il ne s’en tirerait pas comme ça. Six mois. Un bébé prêt quasiment, bien formé, bien là, et qui n’attend qu’une chose, sortir de là. Moi jsuis pas pressée pour ça. Parce que le jour où il sortira, je serais dans la merde. « Oui » que je réponds. Oui c’est le tien. Oui c’est ton gamin, oui t’es papa. Non, tu n’es plus ni dans ma vie, pas plus que tu ne seras dans la sienne. Le pire ? Ça ne blesse que moi, ces idées. Je baisse les yeux et remarque qu’il est blessé. Le sachant plus moins impulsif, je me demande ce qu’il a bien ou se passer pour qu’il soit dans cet état. Ce n’est pas mon droit de demander. Sauf que ma chérie, elle, ne se gêne pas. « Ça te fait encore mal ? » Là par contre, je ne comprends pas. Pourquoi le.. « encore ». Tout à coup, je m’énerve, agacée. Ils se connaissent ou… « Encore ? Je peux savoir ce qu’il se passe ? Comment tu t’es fait ça ? Et ne te défile pas. Toi non plus » dis-je à ma best qui se ratatine sur place. Je sais que ce n’est pas mes affaires, mais si ça concerne Maya, alors c’est important. Il n’est pas question qu’elle me cache des trucs, pire des secrets partagés avec…lui. Mais l’énervement est mauvais et je fais un mini malaise – autrement dit je sens une baisse de tension – et je m’assois assez vite sur le banc d’essayage. Je mets ma main sur mon ventre, une habitude qu’on n’arrive jamais à lâcher. Je le regarde, me perds dans son regard. C’est dingue ce que je ne sais pas quoi dire lorsqu’il est devant moi. Et pourtant, je devrais avoir des milliards de choses à lui dire. Je me relève et manque de m’étaler, fébrile et sans réfléchir, plus par reflexe qu’autre chose, je me rattrape à son épaule, agrippant le pan de son t-shirt. « Je suis désolée je.. » Mon regard se plante dans le sien, et impossible de m’en détacher. Je sais que je ne devrais pas m’en faire, que j’ai des amis autour de moi. Mais c’est plus fort que moi, je ne sais pas rester optimiste, pire lorsque l’homme dont je suis amoureuse et porte l’enfant se place juste devant moi. « On devrait partir Maya.. » Je m’éloigne et vais aux toilettes pour me rafraichir le visage. Je passe de l’eau, prête à presque me noyer. Si je pouvais.. Sa main sur ma hanche, ses lèvres sur les miennes, son regard. Tout en lui me rend fébrile et folle. Comment puis-je garder ma santé mentale intacte, quand il est auprès de moi. Je sors et ils sont tous les deux là. « Tu devrais rentrer retrouver ta fiancé Aaron. Elle va s’inquiéter. Je ne te demande rien. » Que j’ajoute, qu’il ne pense pas que ce soit un quelconque guet appends ou autre.

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MessageSujet: Re: HOLLY&AARON - I'm having your baby. HOLLY&AARON - I'm having your baby. EmptyJeu 30 Mai - 14:29

Oui... Aller Aaron, sois un homme et ne t'évanouis pas. Sa première pensé ? Sa première pensé ne fut pas qu'il allait être papa, ce dont au fond il était assez content mais Holly ne voulait probablement pas l'entendre. Sa première pensé ne fut pas que Holly allait le tuer de l'avoir mis en cloque, même s'il n'en doutait pas une seule seconde parce que bon, Holly restait Holly. Non, sa première pensé fut que Jenna allait être insupportable quand il lui aurait appris la nouvelle. Oui Jenna, sa fiancée. Et insupportable, non pas parce qu'elle allait lui en décoller une ou lui crier après. Non parce qu'elle allait lui sauter au coup en lui disant que c'était magnifique et le menacer de l'émasculer s'il n'assumait pas sa paternité. Il ouvrit la bouche mais la refermait quasi tout de suite après. Parce que les autres pensés qu'il aurait du avoir avant venait justement de lui parvenir. Il allait être Papa... Du moins si Holly le laissait un jour approcher du gosse, ce qui n'était pas encore gagné. Il allait être Papa si la mère ne le tuait pas avant. Bordel de merde, il avait mis Holly enceinte. Enceinte... Oh mon Dieu ! Heureusement pour lui, Maya changea de sujet de conversation, désignant du menton son bras. Car oui, la fille qui était en compagnie de Holly, et bon dieu pourquoi l'avait-il pas reconnu plus tôt, c'était bien Maya. La même fille qu'il avait défendu hier soir, grâce à quoi il était plus ou moins en sale état aujourd'hui. Il lui sourit. Faut dire, Maya ressemblait tellement à sa soeur que cette curiosité dont beaucoup se serait abstenu ne le gênait pas le moins du monde. Mais avant qu'il ne puisse répondre ce fut Holly qui réagit. Aie, ouille, quand elle avait cette tête là, ça n'annonçait réellement rien de bien bon. Et le pire ? C'était qu'il adorait quand elle le regardait de cette façon là, avec ces yeux qui tuent. C'est rien. Elle se faisait emmer... Il n'eut pas le temps de finir sa phrase qui la vit soudainement pâlir. Elle semblait même avoir du mal à tenir sur ses jambes. Il lui attrapa le bras et l'aida, sans qu'elle s'en rende compte, à s'assoir sur le banc. Il fronça les sourcils et interrogea Maya du regard. Etait-ce normal ? Pourquoi avait-elle sa main sur son ventre ? Il y avait quelque chose avec le bébé ? Faisait-elle souvent ce genre de truc ? Mais il n'obtient en réponse qu'un haussement d'épaule du genre « qu'est-ce que tu veux que j'en sache ? » Bah c'était elle la meilleure amie, pas lui. Enfin lui, il était le père ce qui n'était pas franchement mieux dans la situation et son ignorance en devenait même carrément pire. Holly, ça va ? Pas de réponde mais une Holly qui se relève et qui manque de s'étaler. Elle n'aurait pas été enceinte, cela aurait presque été drôle. Non cela aurait même été carrément drôle sauf qu'il se serait tout de même inquiéter. Elle s'excusait. Mais de qui ? Y a rien dont tu... Comment ça partir ? Non non non ! Il devait lui parler. S'excuser lui. De comment il s'était comporté avec elle et de l'avoir mise enceinte, même si ça il n'en était pas spécialement désolé en y pensant bien. Mais elle lui laissa pas le temps d'en caser une qu'elle s'était éloignée pour aller aux toilettes. Ca lui prend souvent de faire des malaises comme ça ? Quand elle s'énerve. Il grimaça. Donc il était surement la cause de son énervement. Bien, c'est bon à savoir ça. Il lui restait plus qu'à ne pas l'approcher à moins de trois mètre du reste de la grossesse pour s'assurer de la santé du bébé et de la mère. Et non, ça fait presque plus mal. J'ai réellement connu pire. Bagarreur ? Assez. Et toi, ça va ? Je veux dire, ils t'ont pas fait mal hier ? Elle secoua la tête à la négative et il sourit. Le voilà rassurer sur au moins ce point là. Sauf que Holly revenait et qu'il avait donc bien d'autres sujets d'inquiétude. La retrouver pour qu'elle m'engueule de t'avoir laisser partir une seconde fois ? Non merci. Je vis l'air d'incompréhension sur leur visage mais je ne relevais pas. Après tout, ma relation avec Jenna était assez particulière pour que la majorité des gens ne la comprenne pas tellement. Elle n'est pas là, pas en ce moment. Et je m'en fiche quelque peu que tu ne me demandes rien. Il sourit, essayant juste de pas la mettre en colère pour le coup. Ce qui n'était pas gagné d'avance. Holly avait déjà un sacré caractère, ce qu'il se gardait bien de lui dire de peur de se faire boxer la tronche. Mais en plus avec les hormones, oulà ça devait être à la limite du supportable. Et il doutait qu'elle ait beaucoup de raison de ne pas vouloir lui casser la tronche à lui. Si c'est mon enfant, je serais là. Peu m'importe ce que tu en penses. Même si bien entendu, ce serait plus sympathique que tu ne me frappes pas à chaque fois que l'on se verra. D'ailleurs si tu veux me frapper, évite juste le bras pendant quelques temps. Il essaya vaguement de la faire rire mais il n'était pas du tout sur que ça fonctionne. Pourquoi tu ne m'as pas dit avant que tu étais enceinte Holly ? Tu me penses vraiment con à ce point ?
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MessageSujet: Re: HOLLY&AARON - I'm having your baby. HOLLY&AARON - I'm having your baby. EmptySam 1 Juin - 23:58

Aaron. Ou celui qui jura ma perte. Vous pensez que tout vous sourit, ou pas, et puis tout tombe, comme ça, vous savez que la vie vous a gâté, et elle vient le reprendre. Parce qu’après tout, de quel droit avez-vous d’être heureux ? J’ai envie d’hurler, de le frapper, de fuir. Mais je reste là. Je m’énerve, et je fais un tour, pour me rafraîchir. La vérité, L’affronter est une chose que je n’arrive pas à faire. Je ne sais pas comment affronter une personne de toute façon. Suis-je si faible ? Ou suis-je simplement amoureuse, ce qui est sans doute un synonyme. Je déteste être amoureuse. De lui. Je veux le détester. Jveux lui en mettre plein la figure. Alors pourquoi, je n’y arrive pas ? Elle s’est faite emmerquoi ? Je ne comprends rien. Toute façon suis déjà plus là. On me ment, on me cache des trucs et puis en ce moment je ne contrôle pas du tout mes émotions. C’est génial. Croiser son regard avait failli me tuer. Pas littéralement, non plus, mais c’était dur. Parce que je ne me rappelais que le fait qu’il m’ait menti. Qu’il ait omis de me dire qu’il n’était pas célibataire. Que je n’étais que l’autre. Je lui intime de retrouver sa fiancé, et il me dit un truc que je n’arrive pas à intégrer. De quoi il parle ? M’avoir laissé filer ? « Quoi ? Mais qu’est-ce que tu racontes encore comme conneries ? » Il me gave. Je réussi cependant à garder mon sang froid et j’essaye de mettre un sens sur ses paroles. Il dit que l’enfant venant de lui, il a le droit d’être là dans sa vie, accessoirement dans la mienne. Mais ça, je ne suis pas vraiment d’accord. « Je n’ai pas envie de te frapper. Mais il n’est pas question que tu restes dans le coin. J’aurais dû être plus claire. Je ne te veux pas dans sa vie, ou la mienne. Et encore, je ne sais même pas si je le garde.. » Menteuse. Je n’étais pas de ces femmes qui pensaient qu’avorter était une solution. Il était impensable pour moi de tuer un gamin. Surtout que ce genre de truc vous reste à vie à l’esprit. Ça vous détruisait de l’intérieur. Mais ça, je n’allais pas lui dire. IL était malin, parler de son bras, pour m’attendrir. Il savait que s’il y avait un truc à savoir sur moi, c’est que je ne supportais pas qu’il ait mal, ou que ce soit. La question qui tue. Pourquoi ne lui avais-je pas dit que j’étais enceinte. La blague. « Parce que je voulais pas que tu le saches. A quoi ça servirait ? Tu étais en couple quelle partie de ce fait tu n’as pas compris ? Je ne suis pas une fille comme ça. Si tu me l’avais dit, crois-moi il n’y aurait eu AUCUN risque pour que cet enfant existe. Tu m’as pris pour une imbécile. Et tu penses, que je voulais te dire, tiens, tu as un gamin, viens formons une famille. Et puis quoi encore ! Ne la retrouve pas, va te pendre, peu m’importe mis moi je me casse. » Je commence à avancer plus vite. « Il s’est passé quoi maya ? » lui demandais je finalement. « Je me suis retrouve avec des cons, trop..collants. Il leur a mis une raclée et s’en st prit une aussi. Et non il ne savait pas qui j’étais. » Je me retournais et croisais son regard, pour détourner celui-ci assez vite. Pourquoi fallait-il qu’il soit là. Pourquoi fallait-il que l’idiote que je suis soit aussi entichée de lui. Fuir. Tant qu’il était encore temps. Je finis par me retourner. Je n’avais pas vraiment répondu à sa seconde question. « En fait. Le type que j’ai cru connaitre aurait fait un père super. Sauf que ce type était un mensonge. » Et j’essuyais en vitesse une larme qui n’aurait pas dû se retrouver là. Maya me déposa devant chez moi et je m’assis sur les marches et restais là. Je savais qu’une fois rentrée, il aurait fallu que je parle à tout de e le monde ce qu’l s’était passé, et il n’en était pas question. Pas maintenant.
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MessageSujet: Re: HOLLY&AARON - I'm having your baby. HOLLY&AARON - I'm having your baby. EmptyDim 2 Juin - 14:09

Oui, effectivement, elle n'avait pas tellement compris de quoi il parlait quand il lui dit que Jenna allait lui faire la misère quand il lui raconterait ça. Ou plutôt, c'était le laisser filer qu'elle ne semblait pas avoir compris mais encore une fois, cela ne regardait que lui. Enfin, elle aussi puisqu'au fond c'était elle qu'il avait laisser partir, qu'il avait fait partir plus exactement car il aurait aussi pu me passer de lui dire qu'il était fiancé à une autre. Mais même, Aaron ne semblait pas penser qu'il avait à lui parler de cela, et ce n'était pas une question par ici et par là qui réussirait à le faire changer d'avis à ce sujet. Oui, monsieur est quelque peu quelqu'un d'entêté. Je raconte jamais de connerie. Un peu sourire à moitié charmeur et à moitié moqueur vint se poser sur son visage. Non Aaron, chercher à taquiner une femme enceinte, qui, de plus, a pas des raisons de vouloir te découper en morceaux, n'était pas spécialement ce que l'on nommerait une bonne idée. Tiens, elle avait pas envie de le frapper ? Non, elle était sérieuse là. Limite, cela était Aaron. Après tout, Holly avait un caractère de feu. Holly ne se laissait jamais faire, Holly était celle qui menait la barque. Oui, c'était aussi ce qui lui plaisait tant chez elle. Et cela, c'était quelque chose qu'elle ne partageait pas le moins du monde avec Jenna. Pas que Jenna se laisse marcher sur les pieds mais elle avait moins ce côté enflammé qui était propre à Holly. La suite lui plu déjà beaucoup moins. Je vis à Rio, Holly ! Je serais toujours dans le coin, que tu le veille ou non. Et que tu le veuille ou non, je ne compte pas laisser mon enfant grandir sans moi. Aaron n'était pas vraiment le genre de personne à se laisser dicter sa conduite non plus, et ça Holly le savait déjà. C'était son enfant, il assumerait. Assumer, voilà une chose qu'il savait faire plus ou moins bien alors qu'elle le laisse faire. On sait tous les deux très bien que si tu es enceinte de six mois, c'est que tu as déjà décider de le garder. Une délicate façon de dire : ne me prend pas trop pour un con, même si au fond j'en suis un pour t'avoir mis enceinte et être parti après. Ou une façon de dire : je te connais Holly. Car oui, il la connaissait et il savait très bien qu'elle garderait cet enfant. Il la connaissait et il savait bien que si elle n'en voulait pas, elle n'aurait pas attendu aussi longtemps pour s'en débarrasser. L'abandonner après la naissance ? Si Holly le faisait, lui ne le ferait pas. Et puis, ne venait-elle pas de dire « dans sa vie » ? Ce qui voulait dire que l'enfant aurait une vie et donc qu'elle le gardait. Et oui Holly, Aaron te connait mieux que cela. La suite lui fit l'effet d'une baffe. Il aurait voulu rétorquer qu'il n'était pas ce genre d'homme, que ça n'aurait pas été elle ce ne serait pas arriver, ce genre de chose. Mais il savait très bien au fond qu'il n'en avait pas le droit et que d'un point de vu externe : il était ce genre de gars. Je ne t'ai pas prise pour une imbécile ! Mais il aurait fallu m'écouter pour le savoir. Quant à former une famille, ce n'est pas ce que j'ai demandé. Mais si c'est mon gamin, il aura un père. Tu n'as pas le droit de m'en empêcher. Aaron devait presque marcher vite pour rester à sa hauteur mais ce n'était pas à problème car il commençait à être vaguement en colère. Et la question suivante... Il suffit à lui faire perdre son calme. Maya... Ou plutôt ce qui c'était passer hier soir. Il n'entendit pas la réponse de l'amie d'Holly, la coupant presque pour dire la sienne. Ca ne te regarde pas. Il avait été quelque peu sec dans cette phrase et il capta un regard étonné de Maya. Non, cela ne la regardait pas. Si en tant qu'amie, Maya voulait raconter c'était son problème à elle mais lui, il ne voulait pas en dire un mot ou en entendre un. Parce que Maya lui ressemblait trop à elle pour qu'il ait à se justifier, dans sa tête du moins. Que dire ? De toute façon, Holly semblait aussi hors d'elle que lui. Et la phrase d'après... Ne le calma pas le moins du monde. Non, elle le rendit juste désemparé et triste. Un bon père... Cela l'aurait presque fait sourire si Holly n'avait pas ajouté qu'il n'était qu'un mensonge. Un mensonge. Il resta là encore un bon moment, la voyant partir sans trouver le courage de la rattraper. Bordel de merde, il était ce type, ce mensonge comme elle disait. Mais comment lui prouver. Il soupira et eut vite fait de rentrer chez lui. Il attrapa son téléphone, se laissant tomber comme une pierre sur son canapé. Décroche Jenna, décroche... Aaron ? Jenna, j'ai merdé...

THE END
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