Vu qu’un œil extérieur, la journée de Lumen aurait été mouvementé comme jamais voire atroce. Cependant pour la jolie blonde, ça avait été une journée des plus banales. Elle avait passée sa journée avec son père, non pas à faire les boutiques - bien que ce dernier lui offrait toutes les semaines une robe ainsi qu’une paire de chaussure pour compléter sa collection – ils avaient passés la journée à essayer différentes armes à feux : plus légères, plus silencieuses, plus rapide pour recharger, etc … Une discutions typique et tout à fait normale dans la famille Prado. Après tout on partage tout quand on a le même sang, non ? En tout cas Lumen a toujours être prête à tout pour son père depuis qu’elle a retrouvée sa trace et se salir les mains fait partit du contrat. Certes la première fois qu’on tue une personne, se n’est jamais facile à digérer que se soit avec une arme à feu ou avec un poignard afin de le faire souffrir autant de fois que possible. Oui parce qu’avec le temps, la jeune femme avait prit du plaisir à avoir recours à ces méthodes pour faire parler les gens ou punir ceux qui justement parler bien trop. Il y a près de dix ans en arrière, elle aurait voulu que ça se termine le plus rapidement possible mais aujourd’hui c’était tout l’inverse : elle voulait que ça soit toujours plus long et encore plus jouissif que la fois précédente, un peux comme le sexe au final. La fin de journée avait été plus ou moins identique. Quelques clients l’avaient appelé pour cette douce poudre blanche qui surexcite l’être humain. C’est ainsi que marqua la fin de sa conversation avec son paternel, à qui elle fit un baiser sur le front de l’homme avant de quitter la demeure familiale.

En l’espace d’une dizaine de minutes, elle était déjà à sec et venait de se faire un paquet de blé. Mais il était encore trop tôt pour rentrer chez soi, c’est ainsi que Lumen prit la direction de l’appartement de sa meilleure amie au volant de sa belle Mustang GT 500 offerte par papa, il y a quelques années maintenant. Vous ne pouvez savoir la satisfaction qu’à la jeune femme en sortant de cette voiture en voyant le regard des hommes se jeter sur ce bolide et d’autant plus surpris quand on voit une femme au volant. Elle ne mit d’un quart d’heure pour rejoindre l’appartement ou vivait Amy. Aurait-elle du la prévenir de son arrivée ? Peut être bien que oui, mais Lumen n’a jamais été du genre à prévoir à l’avance ce qu’il peut arriver puis l’effet de surprise est toujours meilleur ... Une fois son véhicule garé, la jeune femme monta les marches de l’escalier menant jusqu’à l’endroit tant convoiter. On pouvait l’entendre de loin arriver, en effet, ses talons hauts avaient toujours été sa marque de fabrique si bien qu’elle en portait toujours ne supportant pas d’être à plat. Pour accompagner ses chaussures vert émeraude, elle avait optée pour une tunique noire qu’elle portait comme une robe, c'est-à-dire sans short ni pantalon en dessous. C’était certes court mais qu’importe quand on est canon, on l’assume non ? Une fois devant la porte, Lumen frappa un coup pour ouvrit la porte à la volé. Oui mademoiselle n’attendait jamais qu’on lui réponde, après tout elle était ici un peu comme chez elle. Et qu’importe si elle surprenait Amy ou n’importe qui en pleine partie de jambe en l’air, elle dirait simplement : « faites comme si je n’étais pas la » et irait fouiller dans les placards. Oui Lumen c’est un numéro … Cependant à sa grande surprise ce ne fut pas Amy qui vint l’accueillir, mais Colt Weston … « Hey, tu vas bien ? » Dit-elle en s’approchant de lui, lui faisant une bise sur les deux joues accompagnées d’un sourire. « J’oublies toujours que tu habites ici maintenant. » Dit-elle en s’asseyant sur le plan de travail de la cuisine. Ce jeune homme au prénom tout autant original et autant charmeur, n’était autre que celui qui avait eut le plaisir ou peut être la chance de voler son innocence à Lumen. Mais il était également l’un des amis de son père, ce qui la faisait sourire à chaque fois. « Je suppose qu’Amy n’est pas la ce soir. » Elle le regarda un instant, puis l’attrapa par le col de son t-shirt le tirant vers elle. Elle s’aida de lui pour descendre du plan de travail, se collant à lui avec un sourire amusé. « Bon il y a quoi à boire dans ce pays ? » Dit-elle en se retournant, tout en se penchant en avant également afin de fouiller dans les placards à la recherche du bonheur ...