NOM ET PRÉNOMS ✖ Kaylee Taìs dit aussi "Sky" -allez savoir pourquoi, elle est le ciel sans nuages de Léo- de Azevedo ; DATE DE NAISSANCE ✖ qu'est ce que ça peut faire ? ; LIEU DE NAISSANCE ✖ Rio de Janeiro ; ORIENTATION SEXUELLE ✖ bisexuelle, c'est tellement mieux ; SITUATION PERSONNELLE ✖ perdue dans l'immensité des fleurs à butiner, amoureuse de son célibataire et très certainement pas prête à donner son cœur à quelqu'un ; ÉTUDES/MÉTIER ✖ serveuse, barmaid, laveuse de voiture, femme-sandwich, distributrice de tracts, baby-sitter, tout ce qui peut lui tomber sous la main ; GROUPE ✖ écrire ici ; CÉLÉBRITÉ ✖ Blake Lively. ; CRÉDIT SIGN' ✖ TUMBLR.

YOUR LIFE'S CODE "Sky" ? c'est une boule d'énergie, c'est un sourire constamment affiché sur les lèvres, c'est une rigolote avec deux jambes, c'est un mec avec un vagin. "Sky" c'est une dragueuse, c'est une fêtarde, une droguée, une amoureuse de la vie et de la liberté, des boissons et de l'herbe, du sexe et des fringues. "Sky" vit comme elle l'entend, "Sky" n'a jamais de remords, ou très rarement. "Sky" c'est le ciel sans nuages de Léo et il est celui qui lui maintient les pieds sur terre. "Sky" c'est celle qui se dit végétalienne et qui dans votre dos ou bien en face et sans aucuns scrupules mangera un bon steak saignant avant de redevenir végétalienne. "Sky" c'est celle qui se trouve trop grosse, qui voudra toujours faire du sport mais trop flemmarde elle ne voudra pas bouger de son lit et ira faire du shopping en se regardant dans le miroir, elle se trouvera magnifique. "Sky" c'est une joueuse, une séductrice, une femme sensuelle, qui aime quand les regards se tournent sur elle et qui adore rembarrer les hommes ou les femmes trop entreprenants avec elle, une féministe et féminine. "Sky", elle aime la vie, la musique, le thaï-chi, le yoga, la jardinerie, mais "Sky" aime aussi le football, les soirées poker, le catch et la bagarre. "Sky", c'est une gueularde, une râleuse, une capricieuse, une vulgaire qui crache des gros mots à longueur de journée. "Sky" ne vit que par ses propres règles, elle veut dire "je t'emmerde" ? elle dira "je t'emmerde". "Sky", c'est une liberté ne vivant pas dans sa cage. Partir, plier bagage et s'envoler à l'autre bout du monde ? elle sera d'accord et partira, sans prévenir. "Sky", elle aime la police quand ils font leurs boulots, elle les insulte quand ils l'arrêtent pour ivresse sur la voie publique. "Sky", c'est une bouffée d'oxygène, c'est une montagne russe qui se maudit quand elle a ses menstruations. "Sky", elle aime l'adrénaline, les sensations fortes, le danger, sentir son cœur sur le point de sortir de son corps. "Sky", elle n'a pas peur de se mettre dans le pétrin, pour peu qu'elle arrive à s'en sortir. "Sky" on l'aime, ou on la déteste, tout simplement... La liberté ? c'est ce qu'elle affectionne, c'est ce qu'elle ne perdrait pour rien au monde. La liberté c'est sacré et ça elle l'a bien compris. Faire ce qu'elle désire et quand elle le désire, cette sensation d'être tout simplement intouchable, d'être libre et consciente de l'être. D'en profiter et d'en abuser. La liberté c'est cet oxygène pur qu'elle peut respirer quand elle le désire, ne pas s'enfermer dans un vulgaire métro-boulot-dodo à deux balles comme le font les trois quarts des gens. ne devoir rendre des comptes à personne, ni même à celui qui se prend pour le papi gâteux d'en haut ou même autres autres. elle aime se coucher à pas d'heure et se réveiller lorsque le soleil se couche. peut-être passera-t-elle pour une utopiste mais elle s'en fiche, parce qu'elle, lorsque vous vous morfondez de devoir vous levez le matin, lorsque vous râlez de ne pas avoir eu votre dose journalière de je ne sais quoi, et bien elle, elle, elle a tout ça ! Sans cette liberté ? elle serait certainement au fond de son trou, morose, déprimée, n'ayant qu'une envie, en finir et le plus rapidement possible. La police ? si elle régnait sur la ville elle s'en ficherait royalement, hors ce n'est pas le cas. les forces de l'ordre ? à vrai dire elle s'en fiche pas mal, elle les insulte quand ils l'emmènent au poste et elle les félicite lorsqu'ils arrêtent une tueur en série. en fait, elle les aime autant qu'elle s'en fiche. laissez-la fumez tranquillement son herbe, boire à n'en plus pouvoir, manifester le droit des femmes, des animaux, des poneys d'Afrique du Nord, de la légalisation du cannabis, montrer ses seins aux passants lorsqu'elle est dans sa voiture, merde à la fin ! la police n'est pas capable de se tenir elle-même en ordre, c'est vrai, on trouve chez eux de l'argent venant des bandes, de la drogue cachée dans les vestiaires, certains sont corrompus jusqu'à la moelle épinière et peu, très peu font leur métier parce qu'il l'aime. quand la police se respectera, peut-être qu'elle les respectera, mais ce n'est apparemment pas demain la veille. Sa vie ? elle n'a jamais eu à s'en plaindre. quand certains maudissaient leurs parents de ne pas les laisser sortir, elle, elle les aimait. riait avec eux, partageait leurs points de vue. elle n'a jamais connu de perte, elle ne s'est même jamais posée la question du "que se passerait-il si jamais quelqu'un à qui je tiens venait à disparaître ?" oui elle a connu des proches qui ont perdu un être cher, Léo, tout simplement, elle a partagé son deuil, ou plutôt elle a essayé de lui faire sortir la tête de l'eau. certains pensent qu'elle est naïve, elle, elle se dit gâtée par la nature et ayant très certainement une bonne étoile au dessus de la tête. bien évidemment comme tout le monde sa vie n'est pas un modèle de perfection, elle n'a jamais connu la chaleur d'un vrai foyer, je parle là d'une maison et non du camping-car dans lequel elle a été habituée à vivre jusqu'à maintenant, elle n'a même jamais connu l'école, la récréation avec les camarades, les premières fêtes, les quarts d'heures américains. mais elle ne s'en plaint pas, sa vie est ainsi et elle ne la changera pas. elle vit dans son monde, dans sa bulle, qu'elle partage avec qui veut bien y entrer.

LOSE YOURSELF « Fuck you : deux mots qui composent le premier chapitre. Deux mots qui ont la fâcheuse tendance de sortir régulièrement de la bouche de Kaylee »

PSEUDO ✖ YELLOW ; AGE ✖ 21ans ; OU AS TU CONNU LE FORUM ? ✖ BAZZART ; UNE REMARQUE ? ✖ écrire ici ; CONNEXION ✖ ../7.

Code:

◘ Blake Lively [color=red]••[/color] Kaylee Rebelo.

Vous voulez en savoir plus sur ma vie ? mon monde ? tout ceux qui m'entourent ? connaître mes plus noirs secrets ? mes plus grandes folies ? comment la fille qui habitait dans la maison à roulette a-t-elle fini par trouver ce qui lui semble être un bon pied à terre ? mais jusqu'à quand ? je n'ai pas eu une enfance difficile, mes parents ne sont pas des ex-taulards, ils n'ont pas non plus été assassiné dans une fusillade dans les favelas. à vrai dire, mes parents sont encore en vie, très certainement, à l'heure où je vous parle, ils doivent parcourir le nord du continent, cela va faire 8ans que je n'ai pas eu l'occasion de les serrer dans mes bras, bien évidemment nous nous donnons des nouvelles, plus ou moins régulièrement. en fait, nous agissons exactement de la même façon. j'ai été élevée dans une famille que je qualifierai comme étant marginale, à l'écart de la société et ne se préoccupant pas véritablement du système politique. pour vous dire, je n'ai jamais été à l'école, mes parents me faisaient les cours dans notre caravane, notre mobile-home, notre maison sur roulette. je n'ai à vrai dire, jamais eu à m'en plaindre, je respecte, accepte et comprend complètement leurs choix. au fur et à mesure des années je comprends de mieux en mieux pourquoi ils m'ont éduqué de la sorte.

petite, je jouais avec les garçons plutôt qu'avec les filles, c'est peut-être pour ça que j'aime à ce point l'adrénaline, le football, la bière, les femmes -et les hommes-. on m'a souvent reproché de me fichez de tout, de ne pas prêter d'importance à telle ou telle chose, à réagir de manière masculine, réfléchissant par les poings plutôt que par la tête. vivre une vie faite d'alcool, de drogue, de sexe, de petits boulots et de "ce dont j'ai envie". mes parents vivaient de la sorte, un coup de moue ? "fumes toi un pétard" qu'ils me disaient lorsque à l'âge de 16ans, j'eus ma première rupture sentimentale. elle était rousse, féline, sûre d'elle mais tellement égoïste ! ils n'avaient finalement pas tord, "fumes toi un pétard !" et tout va mieux. c'est très certainement l'un des meilleurs conseils qu'ils me donnèrent. puis vint le temps où il fallut que je prenne ma propre route, ils partaient pour l'Argentine alors que je voulais retourner à Rio, essayer de retrouver cette fille, la dernière fois que j'eus de ses nouvelles, elle m'avait dit que son père la contraignait à se rendre là-bas, pour redorer le blason de la famille, quelque chose dans le genre, personnellement, j'ai toujours pensé qu'il voulait qu'on se sépare, que je n'étais pas une bonne fréquentation et un bon exemple pour sa fille adorée. elle était égoïste, et j'en étais amoureuse.
j'abandonnai donc la "maison" familiale, j'avais 17ans, allant sur mes 18 dans les jours à venir. Rio était la ville de ma naissance, celle où j'avais pour la première fois de ma vie mit une belle patate à ce gros lard de gamin. nous avions 10ans, il s'était moqué de mon lieu d'habitation, je lui avais tout simplement cassé le nez. je connaissais cette ville presque comme ma poche, je l'avais longuement arpenté et sous toutes les formes. petite, je m'amusais dans les parcs, sur la plage, adolescente, je commettais mes premiers vols, me faisait passer pour une pauvre jeune fille qui cherchait désespérément un peu d'argent afin de pouvoir manger, en fait, je voulais simplement de l'argent pour m'acheter des cigarettes et de l'herbe. adulte ? c'est ivre que je marchais dans les rues, talons dans les mains, enfonçant mes ongles dans celui qui me servait de cavaliers pour la soirée.

puis je le rencontrai. ses bouclettes, ses yeux, son sourire, sa douce voix, ce "Princesse" qu'il employait pour m'appeler. aussi étrangement que cela puisse paraître, je me suis toujours considérée comme étant cette bouffée d'oxygène dont il a besoin pour continuer à garder la tête hors de l'eau, cette branche sur laquelle il peut se tenir afin de ne pas tomber un peu plus chaque jour, dans ce gouffre sans fond dans lequel il ne sortira peut-être jamais. Léo, il est celui qui fait en sorte que je garde les pieds sur terre, que je ne m'envole pas, que je ne le quitte pas comme il a été quitté par elles. Léo c'est la terre et je suis le ciel, Léo est le froid et je suis la chaleur, il est la raison et je suis la passion. Sans Léo dans ma vie ? j'aurai certainement fini par tout plaquer, m'en aller, je ne serai pas celle que je suis aujourd'hui. Moi qui pensai ne jamais pouvoir m'attacher à quelqu'un voilà que j'en subissais les conséquences, je m'étais attachée, plus que de raison à ce jeune homme. Léo et moi, nous faisions l'amour, alors que je baisais simplement avec les autres. Léo me connaissait, dans les moindres détails, la moindre parcelle de mon corps, chaque recoin de mon esprit. Léo était et est, mon meilleur ami et mon amant d'un jour. chaque jour je le vois s'enfoncer un peu plus, chaque jour je fais de mon mieux pour revoir ce sourire amusé sur son visage qui m'avait séduite.

Rio, c'est ma ville, ma maison, c'est Léo et moi contre le reste du monde. C'est nous, ensemble, dans son taudis, c'est l'accumulation de tout les petits boulots. c'est la fête, les soirées, les sorties. les flics, les gangs, mais c'est elle... cela va faire bientôt 5ans que je vis à Rio, cela va faire 2ans que je ne l'ai plus revu. nous avons formé un couple, se fut d'ailleurs l'une des rares fois que Leo me vit amoureuse. celle qui m'avait lâchement abandonné, cette fille rousse... pendant 3ans nous avons formé un couple, j'avais enfin réussir à mettre la main sur elle, cette indomptable fille, cette richissime fille. je l'aimais, comme je n'ai jamais aimé une autre personne avant... je l'aimais... j'aurai déplacé monts et merveilles pour elle, si seulement, si seulement elle n'était pas partie, si seulement elle ne m'avait pas abandonné comme une idiote, si seulement elle ne m'avait pas laissé tomber pour épouser un homme... 2ans, cela va faire maintenant 2 longues et interminables années que je ne l'ai pas revu, mes sentiments pour elle ont changé... du moins, comme on le dit : on ne sait pas de quoi demain sera fait !